Après la hausse de la taxe sur les mutuelles, à laquelle ces dernières ont répliqué par une campagne de communication dénonçant une « taxe sur la santé », le gouvernement vient encore de se prendre les pieds dans le tapis, risquant de passer pour un bourreau des malades, à travers la réforme des arrêts-maladie, prévue pour s’appliquer à partir de janvier prochain.
Les indemnités journalières versées par la Sécurité sociale aux travailleurs en arrêt-maladie doivent en effet passer de 50% du salaire brut à 60% du salaire net. Une telle mesure représenterait un coup de...